Aug 5 2008
Le bonheur ne guérit pas, mais le bonheur se protège contre Illinois en baisse comme résultat, les gens heureux vivent plus longtemps. La taille de l'effet sur la longévité est comparable à celle du fumage ou pas. Ceci est conclu d'une analyse de 30 études complémentaires complémentaires publiées dans la dernière édition du tourillon des études de bonheur (septembre 2008).
Là ont été plus d'états des gens heureux vivant plus longtemps, mais pour longtemps lui était peu clair si le bonheur entraîne la longévité, puisqu'il peut également être que les bonnes santés ajoutent les deux au bonheur et à la longévité. Les scientifiques évaluent la causalité utilisant des études complémentaires complémentaires à long terme, prenant en considération la santé initiale. Les résultats de telles études ont semblé contradictoires ; plusieurs études ont trouvé l'effet causal prévu du bonheur sur la longévité, mais d'autres études ont trouvé qu'aucun effet et certains ont observé encore la mort plus tôt parmi l'heureux. L'analyse de 30 études complémentaires complémentaires a prouvé que la différence est dans les gens à l'étude. Le bonheur ne rallonge pas la durée des gens sérieusement mauvais, mais il prolonge la durée des personnes en bonne santé. Le bonheur semble se protéger contre Illinois en baisse. Un des mécanismes derrière cet effet semble être que la tension continuelle de causes de tristesse, qui sur sa spire réduit la réaction immunitaire. Un autre mécanisme possible est que le bonheur ajoute à la possibilité d'adopter un type de vie saine.
Une implication de ceci qui trouve est que la santé publique peut également s'introduire par les polices qui visent un bonheur plus grand pour un numéro plus grand.